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Qui sommes-nous?

Juliette Martin, Aurélien D’Ignazio, Pauline Chevance, Manon Rodier et Clémence Joulain. Nous sommes psychomotriciens installés en région parisienne à Antony (92160) (…)

Le bilan psychomoteur

La spécificité du bilan psychomoteur est d’évaluer les compétences motrices et perceptives, tout en intégrant les aspects émotionnels, relationnels et affectifs (…)

Les indications

La psychomotricité peut s’adresser à tous les âge de la vie et à une multitude de contextes. Nous distinguons néanmoins certains troubles spécifiques (…)

Présentation du cabinet

Notre cabinet de psychomotricité, situé au 12 avenue de la Providence, en région parisienne, à Antony (92160), accueille des patients depuis 2013.

Nous sommes cinq psychomotricien(ne)s exerçant du lundi au samedi.

Nous recevons pour conseiller, évaluer et rééduquer les troubles psychomoteurs à tous les âges de la vie (du nouveau né à la personne âgée).

Les prises en charge s’effectuent en individuel ou en groupe selon les besoins du patient.

Nous travaillons en collaboration avec des médecins spécialisés (pédiatre, pédopsychiatre, neuropédiatre) ainsi qu’avec les professionnels sensibilisés aux troubles du développement et des apprentissages (orthophonistes, orthoptistes, ergothérapeutes, psychologues).

À proximité du centre d’Antony, proche du RER B (station « Antony ») et du BUS 197 & 297

Que fait le psychomotricien ?

Le psychomotricien est un professionnel paramédical, diplômé d’État.

Son travail consiste à favoriser le bon développement psychomoteur et le préserver tout au long de la vie. Lorsque cet équilibre est perturbé par un trouble ou un handicap, d’origine physique, psychique ou développementale, le psychomotricien propose des séances d’approche corporelle à visée rééducative (volonté d’agir sur une difficulté ciblée) et thérapeutique.

Quelques-uns de ses outils :  parcours moteurs, exercices de coordination et de rythme, relaxation, expression corporelle, jeux de concentration et de planification, stimulation sensori-motrice, activités de motricité fine, rééducation de l’écriture…

Selon l’Article R4332-1 du code de la santé publique, le champ d’action du psychomotricien concerne :

  • le retard du développement psychomoteur (perturbation des acquisitions motrices, prématurité…)
  • les troubles de la maturation et de la régulation tonique (tics, hypertonie, hypotonie…)
  • les troubles du schéma corporel  et de l’image du corps (manque de conscience du corps et/ou d’estime de soi)
  • les troubles de la latéralité
  • les troubles de l’organisation spatio-temporelle
  • la maladresse motrice et gestuelle (TDC, dyspraxie)
  • les troubles de l’écriture

Certains troubles du neurodéveloppement peuvent inclure des aspects psychomoteurs déficitaires :

  • les troubles du spectre de l’autisme (TSA)
  • les troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H)
  • les troubles des fonctions exécutives

Au-delà de son action rééducative, le psychomotricien améliore également les aspects psychologiques (confiance, estime de soi, ajustement relationnel…).

sauts épreuves du mabc2 en psychomotricité

À qui s’adresse la psychomotricité ?

Le psychomotricien exerce auprès de personnes de tous âges :

  • enfants, adolescents (prématurité, autisme, syndromes génétiques, trouble du développement des coordinations, anxiété, troubles relationnels et des apprentissages…)
  • adultes (maladresse gestuelle, difficultés attentionnelles, stress…)
  • personnes âgées (post-AVC, Alzheimer, prévention des chutes…)

Comment se déroule une prise en charge ?

Le premier contact avec le patient (et sa famille) consiste à réaliser un bilan psychomoteur (entretien, tests et épreuves) qui fait l’objet d’une prescription médicale.
Au regard des conclusions du bilan, si cela est nécessaire, nous proposons une prise en charge avec des objectifs et des dispositifs de rééducation adaptés.

Si nécessaire, une guidance parentale est effectuée.

Il n’y a actuellement pas de remboursement par la sécurité sociale. Certaines mutuelles peuvent offrir un soutien financier. Une demande d’allocation auprès de la Maison Départementale des Personnes Handicapées peut éventuellement être mise en place.

Les prises en charge s’effectuent en individuel ou en groupe selon les besoins du patient.